RESILIENCE Nature est une société de conseil stratégique et en sciences sociales qui intervient aux niveaux local, national et international pour révéler la biodiversité : source de richesse pour les entreprises et de développement socio-économique pour les territoires.

Son but, pérenniser l’usage durable des ressources de la nature pour assurer la prospérité de demain tout en répondant efficacement aux défis écologiques et climatiques d’aujourd’hui.

RESILIENCE Nature a été fondée en 2018 par Marianne Courouble, experte internationale des enjeux de résilience des territoires et des programmes internationaux de préservation de la nature.

Conseil stratégique

• Rédaction de stratégies de résilience (entreprises et territoires)
• Positionnement politique
• Analyse technique des enjeux des clients et de réglementations internationales

Développement de projet

• Conception, coordination et suivi de projets intégrés multi-acteurs
• Recherche de fonds
• Échange de bonnes pratiques & développement de partenariats

Sensibilisation

• Organisation de campagnes et évènements de sensibilisation
• Actions de plaidoyer
• Formation des acteurs

Rompue aux arcanes des négociations internationales et au montage de projets de territoire, RESILIENCE Nature propose de reconnecter le processus de décision avec les réalités de terrain. L’objectif : une mise en oeuvre plus efficace, localement, des décisions prises à l’international pour la biodiversité.

Marianne Courouble, met à votre service son expertise unique internationale. Elle vous oriente vers les meilleures pratiques et stratégies à l’international.

1.

Se doter d’une stratégie de résilience responsable

2.

Monter des projets de territoires autour de la biodiversité ordinaire et sauvage

3.

Modifier les perceptions, résoudre les conflits

4.

Favoriser les échanges, partager les bonnes pratiques locales

Finies les idées reçues selon lesquelles la biodiversité se réduirait à des espèces faune et flore et des espaces à protéger… de nos activités humaines. Le rapport IPBES 2019, le GIEC de la biodiversité, a montré la complexité des enjeux et combien protéger et restaurer nos écosystèmes naturels n’est pas seulement une responsabilité publique, c’est un impératif économique, culturel, sociétal, moral, éthique, de sécurité et de développement.

La biodiversité, c’est tout le vivant (espèces et milieux) et les interactions entre les différentes espèces de ce vivant : le végétal, l’animal et l’humain. Mais la biodiversité, c’est aussi des services écologiques ou écosystémiques : 43 exactement. Des services de régulation (climat, inondations, pollinisation…), d’approvisionnement (nourriture, matériaux, santé…), de soutien (fonctionnement de la biosphère) et des services socio-culturels (loisirs, pêche…). Ces services considérables sont estimés à plus de 125 000 milliards d’euros par an.

Les services écosystémiques ont une valeur économique. L’ONU recommande de les valoriser en tant que valeurs extrafinancières des entreprises ou des collectivités et de les inclure dans les rapports intégrés. Ces solutions fondées sur la nature constituent aussi de réelles alternatives naturelles. Les ressources de la biodiversité sont de véritables leviers de richesse pour les entreprises et les communautés locales, à condition de les intégrer dès maintenant dans leurs stratégies de développement.

La biodiversité est au cœur du développement durable. Les services rendus par la nature sont menacés par des bouleversements sans précédents : changement climatique, disparition des espèces, urbanisation galopante, perte et dégradation des sols, pollution, etc. Les dégâts naturels coûtent plus de 300 milliards par an à nos économies et sociétés. Le constat est clair. Les plans internationaux élaborés depuis des décennies pour la planète sont inefficaces. Notre propre survie est menacée.